Voir plus loin que les écrits : conseils de révisions pour les oraux

  1. Pour Ulm
  2. Pour Lyon 
  3. Pour Saclay 

 

Comme l’a un jour dit mon prof de théâtre, « les marches des ENS ruissellent des larmes des khâgneux qui ne pensaient pas être admissibles ». Tu ne peux pas savoir si tu seras convoqué aux oraux, donc mieux vaut te préparer ! Nous te donnons ici une multitude de conseils, matière par matière, pour t’entraîner aux oraux tout au long de ta prépa.

L’ISMAPP

Après avoir passé deux en prépa littéraire, elle présente l’école qu’elle a intégré sur concours : l’ISMAPP, ou Institut Supérieur du Management Politique et Public.

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L’EHESS

Emma, en master 1 d’études politiques à l’EHESS après trois ans de prépa littéraire au lycée Fénelon, te présente l’EHESS et les spécificités de cette école entièrement tournée vers la recherche.

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N’oublie surtout pas que tu peux aller à l’oral. C’est vraiment une possibilité que tu ne peux pas exclure : les « admissibilités-surprises » sont finalement des histoires qu’on entend assez souvent. Dans cette mesure, et pour éviter des regrets, je te conseille fortement de préparer les oraux bien en amont – oui, même si tu ne crois pas en être capable.

Les oraux sont des exercices assez différents des écrits, pour plusieurs raisons. Déjà, tu dois réfléchir beaucoup plus vite (en 1h30 pour la plupart des oraux d’Ulm, plutôt 1h pour Lyon, et ça dépend pour Saclay), et tu as parfois un « outil » en moins : soit pas de dictionnaire (langues anciennes à Ulm), pas de programme, ou un autre programme… Ou alors il s’agit d’un exercice différent (explication de texte…). Bref, ce n’est pas commode et ça ne s’improvise pas. Et je ne parle que des oraux des ENS.

Donc, pendant l’année (et même les deux années si tu es chaud), tu devrais insérer des moments dédiés aux oraux de manière très régulière. Il s’agit ici de te donner quelques idées d’exercices que tu peux effectuer, matière par matière, pour te préparer aux oraux.

Cet article porte exclusivement sur les oraux des ENS sur concours et non sur les oraux des autres écoles, que nous évoquons dans nos articles Orientation.

 

Cicéron au sénat accuse Catilina de conjuration, 1882-88, Cesaro Maccari, ou Toi en train de gérer tes oraux.

 

Nous cherchons ici à te donner des idées de révisions et d’exercices pour être prêt pour les oraux. Certains conseils s’appliquent seulement aux AL/LSH, et d’autres seulement aux BL. C’est toujours précisé. Si tu passes Ulm depuis une LSH ou Lyon depuis une AL, consulte indifféremment LSH et AL.

 

Pour Ulm

Lettres (A/L et B/L)

  • Lis régulièrement des anthologies pour avoir une vision globale de la littérature, une connaissance légère de nombreux auteurs et une habitude de confrontation aux textes. J’aime beaucoup la collection « Itinéraires littéraires » pour une version très détaillée (on en trouve souvent d’occasion dans les librairies ou sur le net), et sinon tu peux aussi prendre le Bescherelle.
  • A partir d’un texte de l’anthologie, fais un plan détaillé de khôlle. Pour ne pas perdre de temps, je conseille de les faire pendant 1h et d’utiliser ensuite 15 min à 30 min pour te renseigner sur l’auteur, le texte, etc. et voir si tu trouves des pistes sur ce texte avec des nouvelles informations. Si tu prévois environ 1h30 d’exercices de littérature par semaine, tu peux faire une explication une fois sur deux, et une dissertation une fois sur deux. Si tu préfères ne pas avoir d’emploi du temps, je te conseille tout de même de le faire au moins 2 fois par mois. 
  • Lors des khôlles publiques des autres ou des démonstrations du professeur, essaye de capter le « jargon » de l’exercice et les différents mots que tu ne connais pas pour pouvoir les utiliser (figures de style, concepts grammaticaux, tournures efficaces…).
  • Remarque : c’est bien de s’y mettre dès l’hypokhâgne car c’est là que tu travailles vraiment sans programme. En revanche, ne renonce pas à ce travail hors-programme en khâgne ! Certains profs se concentrent presque exclusivement sur l’écrit : dis-toi que tu as suffisamment d’éléments sur l’écrit avec le cours, et tâche de faire beaucoup de recherches hors-programmes pour l’oral.

 

Histoire (A/L et B/L)

Quand je parle du programme je m’adresse aux A/L, mais j’imagine que la plupart de ces conseils peuvent concerner les B/L.

  • Fais régulièrement des sujets : tu peux en faire une fois sur deux sur le programme de l’écrit, et une fois sur deux sur le programme de l’oral. Si tu es vraiment trop peu à l’aise sur l’écrit, tu peux ne faire des sujets sur l’oral qu’une fois sur trois, par exemple, mais n’abandonne pas l’idée de travailler l’oral : la quantité de boulot à faire pour l’écrit peut être paniquant, mais on connaît généralement beaucoup mieux le programme d’écrit à la fin de l’année que le programme de l’oral.
  • Tu peux faire un plan détaillé sans le cours, avec problématisation et quelques éléments par sous-partie. Ensuite, vérifie à l’aide du cours ou de recherches personnelles en une quinzaine de minutes. Il peut être utile d’en profiter pour une faire une fiche synthétique autour du sujet à l’aide de ta problématisation et de tes recherches en 30 min ou 1h par la suite : cette fiche te mettra les idées en place et est partageable. Ainsi si vous êtes plusieurs à faire cela, vous pourrez balayer de nombreux sujets, d’autant que le professeur ne pourra pas être exhaustif pour l’oral.
  • Si ton prof te donne le choix entre des khôlles sur le programme d’écrit et le programme d’oral, privilégie le programme oral ! le gros problème du programme d’oral en khâgne est qu’on le travaille trop peu régulièrement pour l’assimiler. Ne te laisse pas prendre au piège et exerce toi !
  • Remarque : le programme d’oral à Ulm revient tous les deux. Va consulter les sujets donnés les années précédentes pour t’entraîner dessus !

Une des listes d’exemples de sujets sur la France de 1939 à 1995 (à partir de la p.3)

Une des listes d’exemples de sujets sur les relations est-ouest (à partir de la p.3)

 

Philosophie (A/L et B/L)

Idem, les conseils évoquant l’oral ne concernent que les A/L, mais le reste peut s’adresser aux B/L.

  • Comme pour les lettres, si tu as un prof compétent, je pense que tu peux lui faire confiance et principalement te reposer sur son cours pour l’écrit : tu peux lire quelques bouquins ou articles, mais tu peux principalement tirer tes infos de ton cours et en profiter pour faire beaucoup d’exercices et pour concentrer tes recherches sur l’oral.
  • Pour l’oral, lis des GF corpus, des manuels de terminale, ou encore le Gourinat ou l’Encyclopédie Universalis en ligne, ou encore des dictionnaires de philosophie pour bien capter la thèse des auteurs. Tu peux aller dans les Références utiles pour voir toutes les ressources auxquelles tu peux accéder dans toutes les matières.
  • Tu peux faire des problématiques seules, ou des plans détaillés enrichis de recherches.
  • Mais fais-en aussi sans chercher. Réutilise notamment tes connaissances de l’écrit. C’est très important pour que tu comprennes que cette épreuve est en fait faisable et éviter toute panique ! J’avais très peu fait de khôlles en temps limité quand je suis allé à l’oral, et ça ne m’a pas aidée. C’est avec la khôlle en conditions réelles que j’ai faite la semaine d’avant les oraux que je me suis rendu compte que je pouvais le faire, mais je suis quand même arrivée avec peu d’expérience… Mon conseil : entraîne-toi plus tôt.

 

LVA (A/L)

Alors là, ça va vraiment dépendre de ton niveau de langue. Je te recommande fortement de travailler ta LVA pendant les vacances, que ce soit au niveau de la grammaire, du vocabulaire, de ton expression ou de ton aisance orale. Si tu es déjà assez à l’aise :

  • Rédige une accroche, une problématique et une conclusion. Fais le reste en plan détaillé.
  • Comme pour le français, renseigne-toi sur des auteurs et des œuvres. Tu n’es pas censé connaître l’auteur sur lequel tu tombes, mais avoir des éléments de connaissance sur les mouvements et les grandes figures permet de trouver des similitudes et des pistes dans ton commentaire.
  • Si tu veux améliorer tout de même ton niveau, enregistre-toi entre de dire une sous-partie ou ta khôlle entière. Réécoute et cherche les erreurs.

LVA (B/L)

 à compléter

 

LM, c’est-à-dire latin ou grec (A/L)

  • Le petit latin est absolument central. Commence en t’aidant beaucoup de l’édition bilingue, puis essaye sans regarder (la traduction ne te servira alors que de correction). Fais-en un peu tous les soirs : en plus de te faire progresser très rapidement à l’oral, ça te rendra beaucoup plus efficace à l’écrit !
  • Apprends du vocabulaire tout au long de l’année et pas seulement au dernier moment pour bien l’intégrer. Je conseille franchement les flashcards pour ça : je le faisais dans le métro (= 20 min le matin et 20 min le soir).

Mathématiques (B/L)

à compléter

Sciences sociales (B/L)

à compléter

 

 

 

 

Théâtre (A/L)

  • Essaye de bien comprendre la méthode, et propose à tes camarades de faire des fiches synthétiques des pièces au programme : une chacun, par exemple. Dedans, mets un petit résumé de l’œuvre, ses différents enjeux, sa structure, ses personnages, ses motifs, etc. Tâche de très bien connaître ces fiches.
  • Effectue aussi des recherches pour voir différentes interprétations de l’œuvre. Note les tiennes. Regarde des mises en scène et garde-les en tête.
  • Fais des plans détaillés en travaillant bien ta problématique.

 

Musique (A/L)

Ici Henri, qui a fait une hypokhâgne-khâgne spé musique au lycée Fénelon, te donne ses conseils.

Je pense que pour ce sujet, étant donné la nature hybride de la musique, il y a plusieurs pistes à suivre. Je vais tenter de les expliciter ainsi que leurs enjeux afin de te laisser faire un choix de méthode en connaissance de cause.

La méthode strictement musicale

La première méthode est celle qui pourrait convenir aux musiciens les plus expérimentés, c’est-à-dire qui ont à la fois un bagage théorique (dans la tête et dans l’oreille surtout) et culturel. Je pense qu’il est important de le dire : nous n’arrivons pas du tout tous au même niveau en spécialité musique, et il ne sera pas forcément possible de tout rattraper en deux années avec un emploi du temps aussi complet, même si tu verras que les progrès peuvent être fantastiques et inattendus.

Etant donné qu’il y a pour l’oral d’Ulm deux exercices, l’épreuve d’harmonie et le commentaire d’écoute, la méthode strictement musicale consiste surtout à pratiquer « dans les règles de l’art ». C’est-à-dire que tu pratiques l’harmonie avec un piano, tu écoutes pour voir si tout sonne bien, tu prends ton temps pour entendre les nuances du jeu entre les voies et la subtilité du remplissage harmonique. Dans le cas du commentaire d’écoute, tu vas chercher des compositeurs que tu ne connais pas, et tu écoutes leurs œuvres de façon à t’imprégner de leur style, en essayant aussi d’analyser ce qui se passe.

Cette méthode fonctionne très bien, mais elle suppose plusieurs prérequis. Le premier, très bête, est d’avoir un piano (ce qui n’est pas toujours évident dans un 11m2). On peut trouver des alternatives pour entendre ce que l’on écrit sur la partition, comme Musescore par exemple, ou un tout petit clavier électronique, mais c’est tout de suite moins évident. Le deuxième prérequis, non moins nécessaire, est d’avoir un niveau de solfège et d’entraînement de l’oreille assez avancé : l’idéal est d’être capable d’entendre les notes que tu écris sur ta partition. Bien sûr, tout le monde n’a pas ces compétences à l’entrée en spécialité musique (et moi non plus d’ailleurs), mais on comprend vite en quoi cela aide énormément quand il s’agit de composer à la table. Les prérequis du commentaire d’écoute sont de même nature : avoir une oreille bien formée à la reconnaissance du langage tonal est un atout immense, qui permettra non seulement d’analyser beaucoup plus vite les morceaux écoutés, mais aussi de mieux les retenir et les comparer les uns avec les autres.

On peut cependant se dire que ce genre de compétences s’acquiert au fil de la pratique. C’est bien sûr le cas. Mais reste à trouver la bonne manière de pratiquer : j’ai trouvé très peu de musiciens capables de donner une méthode spécifique permettant de travailler efficacement l’oreille afin d’arriver à reconnaître facilement les fonctions tonales et les mélodies, même s’ils y parvenaient parfaitement eux-mêmes. Pour être tout à fait honnête, je n’ai pas réussi à développer ce genre de compétence d’oreille musicale (entendre les notes sur le papier et les reconnaître à l’écoute) en deux ans. Et ce n’est pas faute d’avoir (beaucoup) essayé. Cependant, cela ne préjuge en rien sur ton expérience : tu y parviendras peut-être – je tiens simplement à t’avertir sur le fait que ce sera difficile et qu’il vaut mieux avoir une méthode rigoureuse et sûre.

N.B Il est possible qu’à l’oral du concours Ulm, le jury demande à l’élève de commencer par chanter la mélodie qu’il doit harmoniser (en lui donnant un la de référence). Ce n’est pas systématique, mais cela montre à quel point des compétences élevées en solfège sont attendues.

La méthode plus intellectuelle

La deuxième méthode est peut-être moins musicale dans le sens le plus strict, mais elle permet à un musicien avec un niveau relativement moyen en solfège de s’en tirer. Pour expliquer cette méthode, je vais devoir préciser les notions de solfège et de théorie musicale, qui peuvent être mal interprétée. En effet, dans mon expérience, il y a deux types de théorie musicale : celle que l’on comprend et que l’on mémorise, et celle que l’on entend. C’est-à-dire qu’on peut très bien être capable d’écrire des enchaînements d’accord très sophistiqués sur une partition sans pour autant savoir comment ils sonnent : et cela ne veut pas dire qu’ils seront faux ! Pour le dire autrement, on pourrait affirmer qu’il y a une compréhension purement déclarative (ou discursive) de la théorie musicale, et une compréhension intuitive, véritable contact avec la matière musicale. C’est seulement la seconde qui permet d’évaluer esthétiquement ce qu’on écrit sur une partition : en effet, si on n’entend pas ce qu’on voit, on ne peut que vérifier les fautes d’harmonie.

On voit donc aisément les avantages de maîtriser la théorie intuitive par rapport à la théorie discursive seule. Mais on connaît aussi, comme je l’ai montré ci-dessus, la difficulté d’acquérir de telles compétences pour maîtriser un solfège vécu plutôt que pensé. Cependant, et je sais que ce n’est pas la meilleure manière de faire de la musique (encore une fois il est bien mieux de prendre tout son temps pour entraîner son oreille dans le meilleur des mondes), la théorie purement déclarative peut être d’une très grande aide pour ceux qui ont beaucoup de mal avec l’écoute savante. Pour résumer, la méthode consiste à apprendre les règles d’harmonie comme si elles étaient n’importe quel autre type de connaissance : par l’organisation et l’entraînement (voir nos autres articles). L’organisation, pour être capable de hiérarchiser et comprendre les règles les plus importantes et de voir les liens qu’entretiennent les règles entre elles ; l’entraînement pour intégrer et confronter ces règles aux variations de l’exercice. Même si cela peut sembler bête, une bonne maîtrise des règles ne vous fera pas écrire des quatuors à cordes originaux ou personnels, mais ils seront tout de même parfaitement justes vis-à-vis des critères du concours ! Bien apprendre ses règles et pratiquer très souvent l’harmonisation de mélodies peut amener à un très bon niveau théorique dans cet exercice.

Pour ce qui est du commentaire d’écoute, il s’agit encore d’utiliser la même stratégie : plutôt que d’aller directement à l’écoute de la musique, mieux vaut commencer par lire quelques articles généraux sur les différentes périodes et les différents styles, qui permettront de se faire une idée théorique des différences entre les morceaux. Cela t’aidera non seulement à distinguer les pièces lors de l’écoute, mais aussi à construire une vision cohérente de l’histoire de la musique, même si celle-ci est davantage structurée par des connaissances discursives que par une écoute « pure ». En plus de cela, il est certain qu’il faut s’entraîner à faire des commentaires d’écoute sur des extraits connus et inconnus, et de commencer par bien comprendre les attendus de l’exercice. D’expérience, cela permet aussi d’arriver à un bon niveau.

Bilan

Tu auras compris, je ne souhaite pas défendre une méthode plutôt que l’autre, car je pense que le choix dépend de tes compétences préalables et de ta motivation à suivre l’option musique. Bien entendu, la meilleure solution serait de combiner les deux méthodes, pour avoir une maîtrise discursive et intuitive, mais cela demande beaucoup de temps et les écarts de niveau sont parfois très élevés concernant le développement de l’oreille. Mon avis final serait donc qu’il faut privilégier une base de connaissance déclarative la plus solide possible tout en essayant de s’entraîner à véritablement entendre la musique, car il est vrai que, sans cette envie, la discipline perd toute sa magie.

Histoire de l’art (A/L)

Ici Mathieu, qui a intégré Ulm en histoire de l’art après une hypokhâgne-khâgne au lycée du Parc, te donne ses conseils…

  • Va dans des musées à avec d’autres personnes : choisissez des œuvres random et commentez-les vous en 5 minutes.
  • Recense au fur et à mesure de l’année toutes les grandes notions qui reviennent dans les analyses, pour pouvoir les réagencer le plus vite possible en puzzle (attention : gagner en vitesse de conception de plan sert à gagner en temps pour faire l’analyse la plus précise et la plus spécifique possible sur l’œuvre; il ne s’agit pas de trouver un schéma d’analyse universel ; ça risque de ne pas plaire).
  • Balade-toi quand tu n’as rien à faire sur des sites comme WikiArt, et scrolle : ça te permettra d’acquérir une culture visuelle passive, c’est excellent.
  • Recense toutes les références ultracontemporaines dans les expositions de l’année pour pour faire des analogies lors de l’entretien
  • Jouer au jeu des comparaisons avec des amis : partez d’une oeuvre, chacun doit trouver une autre oeuvre avec laquelle elle puisse être comparée
  • Mémorisez deux oeuvres emblématiques de chaque période découpée par les histoires de l’art classique : ça claque en intro d’avoir une oeuvre précise pour incarner votre propos, et ça pose déjà un horizon de comparaison
  • Ne négligez pas la culture ciné/séries/pop culture
  • Faites l’inventaire de 20 références bibliographiques à usage multiple sur lesquelles vous pouvez vous appuyer : donc des cas généraux
  • Trouvez 20 références d’époque qui traversent la chronologie : les oeuvres littéraires et théoriques des époques étudiées claquent pour appuyer des arguments.

 

 

Nous nous excusons des matières non-représentées et travaillons à les ajouter au plus vite. Tu as des idées à donner pour réviser les oraux dans ces matières ? Contacte-nous

 

Pour Lyon

Lettres (LSH)

à compléter

Lettres (B/L)

à compléter

ASH (LSH)

à compléter

Presse (LSH)

à compléter

LVA (B/L)

à compléter

Mathématiques (B/L)

à compléter

Sciences sociales (B/L)

à compléter

Théâtre (LSH)

à compléter

Musique (LSH)

à compléter

Histoire de l’art (LSH)

 à compléter